05 juin 2006

Dernière séance

Au programme pour ce mercredi 07, en salle 110 (vidéo) :
- document audio : la péroraison de l'éloge funèbre de Jean Moulin ;
- remise des copies (+ documents divers : corrigés, programme 1re, point blogs, lettres auteurs) ;
- remise des fiches de lecture ;
- fin du film Un long dimanche de fiançailles ;
- clip FFF7.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

ui c déjà la fin de l' année...
J' attend avec impatience le début du jeu proposé par la prof:le jeu des cadavres exquis. J'ai déjà ecris le début si cela interesse quelqu'un:


Il était une fois, dans un pays lointain, un petit Elfe du nom de Jean-Louis. Il n’avait pas de parents, très peu d’amis, et pas de femme. Il y avait une seule personne sur qui il pouvait compter : Son glouft -c’est un petit monstre avec une peau très dure sur laquelle poussent des poils fin mais très résistants. Ce genre de monstres ne fait qu’une quinzaines de centimètres de haut-. Jean Louis allait partout avec lui, il se baignait, dormait, faisait leurs petites aventures ensemble.
Jean Louis rêvait de s’évader, de faire des aventures au-delà des montagnes, des Océans…Il avait déjà traversé la mer de Sactish, dans le sud du comté. Son glouft était venu, bien sûr. Il l’ avait franchi avec une barque qu’il avait loué, et une canne à pèche pour se nourrir. Il avait tout vu : requins géants, serpents des mers, furutz -monstres marins peu dangereux, sauf si ils s’énervent-, mer d’huile, tout. Tout sauf une chose : la tempête. La mer de Sactish ne connaissait que très rarement les tempêtes. C’était bien ennuyant pour un bateau équipé d’une voile… Enfin, Jean-Louis était parti avec des rames.
Aujourd’hui , il se préparait pour une nouvelle aventure : il s’apprêtait à partir pour le gouffre de foultakach. Il avait entendu dire que seulement une dizaine d’aventuriers avait réussi à le traverser, et que des centaines de monstres vivaient dans ce gouffre. Le gouffre marquait la frontière du comté. Seul les aventuriers qui l’avaient traversé savaient ce qu’il y avait au-delà. C’était ce qui l’intriguait.